photo CONCERT EN DEAMBULATION ETHS MICALETS

CONCERT EN DEAMBULATION ETHS MICALETS

Musique

Gavarnie-Gèdre 65120

Le 09/07/2021

Dans le cadre du Festival de Gavarnie – programmation « Au-delà du Cirque », juillet-août 2021 : GROUPE ETHS MICALETS Voix des vallées - Votz deras vaths Immergés dans la pratique de la polyphonie spontanée des Pyrénées depuis l’adolescence, le groupe Eths Micalets perpétue la tradition orale aux travers des chants polyphoniques sacrés et profanes des montagnes. Ils explorent un patrimoine musical traditionnel occitan et français commun à la Gascogne. Les poèmes chantés racontent les fêtes, l'amour, le milieu du pastoralisme et les moments de vie des hommes et des femmes sur les pentes de la vallée de Gavarnie et d'autres contrées. La femme, ancrée et libre, est au coeur de quelques textes poignants. La tradition se nourrit de racines pour faire pousser les branches d’avenir. Aujourd’hui, le groupe Eths Micalets souhaite aller à votre rencontre pour partager cette passion de la polyphonie des Pyrénées.

photo On sort au Parvis (Ibos) : Spectacle

On sort au Parvis (Ibos) : Spectacle "Nijinska, voilà la femme"

Danse - Bal - Cabaret, Spectacle

Cauterets 65110

Le 08/02/2022

Mise en place d'une navette gratuite pour assister à la représentation du nouveau spectacle de Dominique Brun / François Chaignaud : "Nijinska, voilà la femme" Poursuivant ses recherches sur les figures saillantes de la modernité, en particulier Vaslav Nijinski, Dominique Brun s’intéresse ici à sa sœur, « la Nijinska », première et unique femme chorégraphe des Ballets russes, néanmoins laissée dans l’ombre. Pourtant, elle a grandement contribué à moderniser la danse. Elle a participé activement à la révolution du Sacre du printemps même si l’histoire retient encore Diaghilev ou Stravinsky. Rien d’étonnant qu’une chorégraphe, passionnée par le patrimoine chorégraphique, Dominique Brun, décide de réhabiliter son apport immense à la danse. Les Noces, pièce pour vingt-deux danseurs et jouée dans la version musicale telle que celle de 1919, est intimement liée au Sacre du printemps, chorégraphié par Vaslav Nijinski dix ans plus tôt. Le mariage qui est célébré ici est traité comme un drame austère et dépouillé, un acte sacrificiel dans lequel il n’y a aucune place pour l’amour et la subjectivité. La recherche chorégraphique s’éloigne de la littéralité de l’argument et construit[...]